Louise Grenier (dir.)
Louise Grenier (dir.)
Lettres du divan
Écrire à son psychanalyste
Éditions Liber
9782895786023 • mai 2017 • 246 pages
« Un analysant écrit à son analyste. Lettres, messages, poèmes, récits de rêves ou de souvenirs, aveux d’un désir, ou d’une douleur, qui ne se dit pas. Ces écrits en marge des séances occupent une place à part dans l’analyse ou la psychothérapie, comme si le désir inconscient et ses tourments trouvaient là à se loger. Dans le mouvement même de son écriture, le sujet rejoint la part cachée de son être, celle qu’il ne livre pas en séance. Il se souvient de lui-même en quelque sorte, pour et avec un autre qu’il retrouve dans l’imaginaire. Nous ne sommes plus seulement dans “ l’échange de mots ” (Freud) au sens strict, mais dans la correspondance. S’agit-il d’une écriture analysante ? D’une échappée hors du cadre analytique ? A-t-on affaire à un récit de soi qui trouve sur le divan sa raison d’être ? Et comment les psychanalystes accueillent-ils les écrits de leurs patients ? La réflexion proposée ici ne porte pas tant sur des écrits publiés que sur ceux qui croisent la parole en séance. Pour certains, l’écriture a précédé leur entrée en analyse et a rendu possible une ouverture à la parole analytique et à ses soubassements inconscients. Pour d’autres, déjà en analyse, elle est apparue comme une issue créatrice constituant symboliquement une “ chambre à soi ” (Virginia Woolf) pour y déposer les sédiments de sa parole. Le divan, réel ou imaginaire, constitue dès lors ce lieu où la lettre se compose, rejoint d’autres lettres, des inscriptions et récits d’autrefois en quête de quelque destinataire invisible. » (Louise Grenier)
Maryse Barbance
Maryse Barbance
NÉNUPHAR
Fides Éditeur
9782762140101 • novembre 2016 • 158 pages
« Si la nouvelle est affreuse je ne les laisserai pas faire. C’est ce que je me dis. Je ne sais comment décrire la terreur qui me saisit lorsque j’imagine ce qui peut advenir. Elle me pétrifie. L’humain n’est-il pas fait de l’intégrité de son être : âme, corps et voix? »
Au fil d’une écriture sensible, ponctuée d’évocations, Maryse Barbance nous fait pénétrer dans l’univers de Florence vivant dans l’interminable attente de nouvelles sur sa maladie. « Nénuphar. J’appelle la chose ainsi pour pouvoir vivre avec, et en hommage à Vian », écrit celle-ci. Le mal évoluant, les questions se multiplient : Qu’est-ce qu’une femme? Que signifie grandir? Aimer? Comment composer avec demain quand aujourd’hui se fait si fragile?
Pour échapper à ces interrogations lancinantes, Florence emprunte la voie de ses souvenirs. De Paris à Montréal, c’est sa vie qu’elle revoit — ses rêves, ses luttes, ses amitiés. Une vie dont elle a fait une traversée au bout de laquelle la maladie ressemble à un havre ultime !
« Dialoguer au moins autant que lutter, demander des trêves, refaire ses forces, louvoyer si nécessaire », consigne Florence en travaillant à rassembler ces mots « qui aident à vivre, à faire des petits tas, telles des graines en devenir, qui permettent de retenir des pensées quand tout se délite, de se retrouver quand tout s’effondre ».
Le calme succèdera-t-il à la tourmente ?
J.-D. Nasio
J.-D. Nasio
OUI LA PSYCHANALYSE GUÉRIT !
Genre : Psychanalyse Editions : Payot Collection : Désir/Payot
Grand format • 160 pages • octobre 2016 • 9782228916509
« Je voudrais que vous entriez dans mon cabinet et, comme si vous étiez invisible et silencieux, vous vous installiez à côté de moi, preniez une loupe et regardiez mon inconscient et mon cœur de thérapeute pour découvrir comment je travaille avec mes patients. Vous comprendrez alors qu’un psychanalyste guérit grâce non seulement à ce qu’il sait, à ce qu’il dit ou à ce qu’il fait, mais grâce surtout à ce qu’il est et, j’ajoute, à ce qu’il est inconsciemment. »
J.-D. Nasio s’appuie sur plus de cinquante ans de pratique pour nous montrer, avec un enthousiasme intact, sa manière vivante et chaleureuse d’être un psychanalyste efficace.
J.-D. Nasio Psychiatre, psychanalyste, J.-D. Nasio est l'auteur aux Éditions Payot de très nombreux livres devenus des classiques, traduits en plus de douze langues..
Ginette Pelland
Ginette Pelland
DES MEURTRIERS PARMI NOUS. RÉFLEXION AUTOUR DE LA TUERIE DE POLYTECHNIQUE
Liber Éditeur
Collection «Liber»
978-2-89578-515-6 • novembre 2015 • 206 pages
Le 6 décembre 1989, Marc Lépine a assassiné quatorze étudiantes de l’École polytechnique de Montréal. Certains ont pensé que le meurtrier a commis là un acte de folie, hypothèse que les cours de justice tenues par la main par des psychiatres invoquent régulièrement pour expliquer les carnages les plus monstrueux. Mais l’explication ne vaut pas, ni empiriquement ni philosophiquement. Voilà ce que cet ouvrage martèle dans une démonstration aussi rigoureuse qu’impitoyable. Déclarer fous Marc Lépine ou d’autres comme lui après des crimes horribles équivaut en somme non seulement à les affranchir de toute culpabilité, mais aussi à se dispenser soi-même de s’interroger sur les responsabilités familiales, sociales et politiques dont les actes violents font apparaître l’absence ou la faiblesse. La tuerie de l’École polytechnique exige encore et toujours notre vigilante attention. Face à des actes qui détruisent l’espoir en l’humanité et qui font vaciller la confiance que l’être humain peut avoir en son semblable, on ne peut garder le silence.
Ginette Pelland enseigne la philosophie au cégep du Vieux-Montréal. Elle a à son crédit une oeuvre considérable constituée d’une quinzaine d’ouvrages où, de La peur des mots (La Pleine Lune, 1993) à L’homophobie (Québec Amérique, 2005), se rencontrent philosophie, littérature et psychanalyse.
Suzanne Ginestet-Delbreil
Suzanne Ginestet-Delbreil
avec la collaboration de Jean-Yves Broudic
MÉMOIRE ET TRANSMISSION.
Éditions CampagnePremière/
9782372060110 • septembre 2015 • 182 pages
Chaque analyse permet une rencontre avec l’histoire : l’histoire familiale et générationnelle du sujet qui s’y engage, et l’Histoire qui secoue diversement les sociétés. Cette histoire, sous toutes ses formes, se transforme en mémoire consciente et inconsciente. Ainsi, une psychanalyse permet au sujet d’établir un nouveau rapport à son passé, mais aussi de le remodeler.
Aucun psychanalyste ne peut ignorer l’histoire de sa discipline. Il établit un rapport spécifique à Freud, à ses textes et leurs traductions, à leurs commentaires et leurs développements. Ainsi, tout psychanalyste est concerné par la question de la transmission de la psychanalyse.
Cette articulation entre clinique et Histoire constitue un des axes essentiels du travail de Suzanne Ginestet-Delbreil. Dans cet ouvrage, au travers d’entretiens et de relectures de ses textes, elle nous fait part de son parcours de vie, de son histoire de psychanalyste, de sa participation à différentes institutions analytiques. Elle expose également la théorisation de sa clinique chez les sujets, entre névrose et psychose, qu’elle définit, à la suite de Lacan, comme « non-dupes du signifiant ».
Les écrits et le parcours de Suzanne Ginestet-Delbreil nous conduisent à une lecture critique de certains acquis théoriques de la psychanalyse. Comme dans la cure, ils nous mettent sur la voie de la création. Nous y retrouvons tout le vif de la pensée originale et novatrice d’une psychanalyste pleinement engagée dans son expérience.
Ginestet-Delbreil est psychanalyste, membre associée de la Société de psychanalyse freudienne (SPF). Elle a publié : L’Appel du transfert, InterEditions, 1987; La Terreur de penser, Plancoët, 1997; Du désaveu à l’errance, un préalable à la perversion et à d’autres phénomènes, Plancoët, 2003; Narcissisme et transfert, CampagnePremière/, 2004; Paternité et maternité, CampagnePremière/, 2009.
Paul Chamberland
Paul Chamberland
ACCUEILLIR LA VIE NUE FACE À L'EXTRÊME QUI VIENT
vlb éditeur • Collection : Le Soi Et L'autre • 2014
9782896494859
Les forces de destruction qui emportent le cours du monde sont à ce point démesurées qu'elles semblent excéder la portée de tout effort visant à les contenir. L'espèce humaine est confrontée à la menace d'un anéantissement et, plus grave encore, à celle d'une exténuation de son humanité.
Face à l'extrême qui vient, chaque être humain est enjoint à reconnaître que son sort ne se distingue plus de celui de n'importe qui d'autre. Nous sommes devenus des survivants antérieurs. Pendant le temps qu'il reste, il nous revient comme tâche inéluctable de chercher une issue qui fraye la voie à nos descendants. Or, cette tâche se heurte apparemment à l'impossible. Comment alors ne pas désespérer ? Telle est la question soumise au travail de la pensée. Plutôt que de considérer le désespoir comme une tentation à laquelle ne pas céder, l'auteur propose au contraire de l'éprouver à fond. Car faire résolument face à la Destruction aurait peut-être pour effet d'aiguiser la lucidité requise pour en mettre la racine à nu.
Le « résultat » final de la Destruction s'annonce comme la réduction généralisée des conditions de l'existence à la vie nue : le dénuement, la détresse et le déni de tout droit et de toute dignité. Accueillir la vie nue, telle serait l'ultime opération. On ne pourrait toutefois l'effectuer qu'à la condition d'assumer sa propre vulnérabilité. Ainsi pourrait être dégagée la seule puissance capable de désamorcer les ressorts de la pulsion d'autodestruction qui risque de précipiter l'humanité à sa perte. Tel serait, pour une communauté d'« accueillants », le pari d'une espérance endeuillée.
Paul Chamberland
Paul Chamberland
LES PANTINS DE LA DESTRUCTION
essai libre
Poètes de Brousse • 2012
9782923338606
Paul Chamberland s'attaque avec rigueur et passion aux systèmes d'oppression, aux nouveaux oligarques déguisés en chantres de la démocratie et à l'obscur concept de néolibéralisme. Avec pour toile de fond la crise étudiante et ses détracteurs, cohorte de baronnets, gérants d'estrade, juges autoproclamés à la solde des partis politiques et de leurs intérêts financiers, Les pantins de la destruction s'érige contre les prétendus lucides, dépeints ici comme les acteurs aveuglés de la «nécrose collective organisée». Il faut lire cet essai comme un véritable manifeste citoyen pour soutenir notre monde contre ceux qui, trop avides d'y forer des puits, sont en train d'y creuser nos tombes.
Né en 1939 à Longueuil, Paul Chamberland, après des études en philosophie et en littérature, a enseigné, notamment la création littéraire, dans des établissements d’études collégiales et supérieures, dont l’Université du Québec à Montréal, où il a été professeur au Département d’études littéraires de 1992 à 2004. Auteur de recueils de poèmes et d’essais, il a régulièrement participé à des lectures de poésie ou à des colloques universitaires tant au Québec qu’à l’étranger. Membre de l’Académie des lettres du Québec depuis 2006. Parmi ses nombreuses œuvres littéraires de Paul Chamberland, citons Terre Québec, poèmes (1964), Au seuil d’une autre Terre, poèmes (2003), Une politique de la douleur, essai (2004), Cœur creuset, carnets 1997-2004 (2008).
Louise L. Tassé
Louise L. Tassé
LES ORIPEAUX DES ADOS
La nouvelle condition subjective des jeunes
Édition L'Harmattan
Collection «Psychologiques»
978-2-296-54134-4 • mai 2011 • 178 pages
PSYCHANALYSE, PSYCHIATRIE, PSYCHOLOGIE SOCIOLOGIE ETUDES SUR LA JEUNESSE TRAVAIL SOCIAL
Il y a toujours quelque chose de singulièrement subversif lorsqu’il s’agit de faire entendre la parole des enfants hors normes et hors la Loi, c’est-à-dire celle de ces jeunes itinérants et de gangs de rue que l’on appelle des voyous.
La posture subversive de ces jeunes se loge bien au-delà des discours sensationnalistes ou institutionnels à propos de leur délinquance. Ces enfants se sont bannis eux-mêmes au sens où ils ont refusé d’occuper quelle que place que ce soit parce qu’on ne leur a donné aucun moyen de se référer à la place d’exception ou d’extériorité — à ce lieu du tiers —, qui leur donnerait accès à la symbolique de leur inscription dans leur lignée familiale et dans leur communauté d’appartenance.
Les jeunes qui témoignent ici ont pratiqué la rue en y laissant l’empreinte du manque qu’on les oblige à accepter sans leur donner accès à l’idée de la négativité qui les constitue comme sujet. En écho à cette parole des jeunes égarés dans le pas de place, des intervenants et des jeunes fréquentant des écoles secondaires et des Maisons de jeunes ont été invités à exprimer le malaise qu’ils ressentaient face à ceux que l’on appelle des voyous.
J.-D. Nasio
J.-D. Nasio
ART ET PSYCHANALYSE
Editions : Payot
Genre : Psychanalyse
Collection : Petite Bibliothèque Payot | Numéro : 997
Poche
978-2-228-91157-3 • paru en octobre 2014 • 160 pages
En prenant l'exemple du peintre Félix Vallotton, du danseur Marcello Bortoluzzi, ou encore de la divine Callas, J.-D. Nasio nous incite à vivre une empathie intime, une connivence émotionnelle avec l'inconscient de l'artiste : ressentir ce que le peintre a ressenti devant son chevalet, ce que le danseur ou le chanteur lyrique ont ressenti sur scène, ressentir les émotions prodigieusement énergétiques qui nourrissent le génie créateur. Psychiatre et psychanalyste, J.-D. Nasio est l'auteur de nombreux livres chez Payot dont la plupart ont été de beaux succès de librairie.
J.-D. Nasio
Psychiatre, psychanalyste, J.-D. Nasio est l’auteur aux Éditions Payot de très nombreux livres devenus des classiques, traduits en plus de douze langues.
J.-D. Nasio
J.-D. Nasio
L'INCONSCIENT, C'EST LA RÉPÉTITION !
Editions : Payot
Genre : Psychanalyse
Collection : Désir/Payot
Grand format
978-2-228-90801-0 • paru le 17 octobre 2012 • 176 pages
Je répète, donc je suis ! Notre vie bat au rythme de la répétition que l'inconscient nous impose. La répétition est positive quand elle nous permet d'apprendre, de créer et de nous affirmer toujours davantage. Mais la répétition peut aussi se révéler pathologique quand elle nous fait rejouer à notre insu les traumatismes de l'enfance, multiplier les ruptures amoureuses, souffrir de troubles obsessionnels compulsifs, dépendre d'une drogue, du jeu ou du sexe, ou échouer de façon répétée devant les mêmes épreuves.
Aussi dirons-nous que l'inconscient est tantôt une force de vie qui nous pousse à répéter les mêmes comportements heureux, tantôt une force de mort qui nous pousse à répéter compulsivement les mêmes comportements d'échec.
J.-D. Nasio
Psychiatre, psychanalyste, J.-D. Nasio est l’auteur aux Éditions Payot de très nombreux livres devenus des classiques, traduits en plus de douze langues.
Michel Peterson / Christian Peterson
Texte: Michel Peterson
Images: Christian Peterson
UN TROU DANS LA NUIT
Road of Bones and Ashes / Premier carnet de voyage
Editions de La Compagnie à Numéro • 2014
978-2-9808961-3-2 • 20 x 20 cm • 156 pages.
Ce livre témoigne d"un travail du rêve et de déplacements singuliers, inquiétants. Il s'agit d'un aller-à-la-rencontre du plus grave, de ce qui n'a pas de sens parce que cela déborde le domaine de l'humain : les crimes de masse, avec la spectralité mondiale et les dénis historiques qu'ils commandent. Ce premier Carnet fait suite au livre L'Instant du danger (éditions du passage, 2012, en collaboration avec Charles-Henri Debeur) et s'inscrit dans un projet intermédiatique (robaa.org, photographies, livres, films) au sein duquel les auteurs tentent de penser le mouvement des effets des grands traumatismes qui traversent l'humanité depuis ses origines. Les pas-de-sens, le hors-histoire, l'impossible. Point de scandale, que le cristal du Réel.
Michel Peterson est psychanalyste, travailleur social, traducteur et professeur de littérature.
Christian Peterson est cinéaste, photographe et directeur créatif de Roxton Media, une compagnie de production multi média située à Toronto.
Michel Peterson
Michel Peterson
L'INSTANT DU DANGER
Réflexions d'un psychanalyste et témoignages sur l'exil forcé
Editions du Passage • 2012
978-2-922892-57-4 • 21 x 30 cm • 160 pages.
Michel Peterson est psychanalyste. Depuis plus de 10 ans, il reçoit dans son cabinet des demandeurs d’asile originaires de différents pays : Argentine, Brésil, Haïti, Sierra Leone, Afghanistan, Algérie, Chine, Palestine, Tibet, Inde, Cambodge, etc. Depuis 10 ans, il écoute la souffrance de ces personnes ayant dû fuir leur pays à cause de guerres, de génocides, de famines, de terrorisme.
Avec L’instant du danger, il a voulu témoigner des conditions de vie de ces exilés, comprendre et faire comprendre ce qui est en jeu dans la migration forcée. Fait rare, ce livre présente des portraits de ces demandeurs d’asile réalisés par le photographe Charles-Henri Debeur, qui a su s’immiscer dans l’intimité de ces hommes, de ces femmes, de ces enfants, héros ordinaires et anonymes. Un ouvrage qui pose une réflexion sur un thème controversé de notre société.
Charles-Henri Debeur est passionné de photographie depuis son plus jeune âge. L’humain et le portrait sont au centre de sa démarche artistique. Il travaille à Montréal comme photographe indépendant. L’instant du danger est son premier ouvrage.
Maryse Barbance
Maryse Barbance
TOXIQUE
Éditions HMH • 2000
978-2-89428-419-3 • 152 pages
RÉSUMÉ
Un homme et une femme dans le Montréal des années 90. Écho entre époques, entre pays (Espagne, France, Haïti), Toxiques est à la fois un roman d'amour et un roman d'exil, au fil duquel les voix s'appellent, se répondent, se taisent. Du journal intime aux minutes d'un procès, il est en même temps une réflexion sur la société contemporaine, la fracture sociale et la fragilité des identités dans le contexte de la postmodernité nord-américaine.
Prix Anne Hébert 2001
Simon Gaudreau
Simon Gaudreau
FUCKÉS
long métrage documentaire
COLONNELLE FILMS
2014 • 86mn
Fuckés est une fresque intimiste relatant la rencontre entre un cinéaste et des gens qui n’ont rien à perdre, vivant dans l’urgence de la survie. Partant d’un bloc appartement situé sur le plateau Mont-Royal dans lequel plusieurs assistés sociaux cohabitent, ce long métrage documentaire s’intéresse à la vie de ces hommes, marquée par la pauvreté et la désocialisation.
Fernand Dansereau
Fernand Dansereau
LE VIEL ÂGE ET LE RIRE
moyen métrage documentaire
OURSIDERS FILMS
2012 • 65mn
SYNOPSIS
« “C’est le rire du vieillard qui exprime la plus grande sagesse” dit l’axiome zen. Je souhaite explorer la relation particulière entre l’âge et le rire. Avec en tête quelques pistes : entre autres celle des études scientifiques sur les effets bienfaisants du rire sur la santé des personnes âgées, et celle des travaux de Dr Clown, un organisme qui tente aujourd’hui de recadrer son modèle d’intervention suite à la controverse qu’il a soulevée. Enfin, j’aimerais tenter de retracer l’expérience zen qui a conduit à la vérité zen citée plus haut. Peut-on espérer atteindre une sorte de sagesse ultime qui permette, en fin de vie, d’accéder à une exubérance qui transcende la peur, les regrets et le chagrin? »
Fernand Dansereau, mars 2010